Chiffres du logement : la fin d'année 2018 dans le rouge

C'est une bonne tendance. Moins de construction donc moins de pollution climatique et environnementale. Et surtout moins de construction en zones denses peut inciter à ce que les gens restent en zones moins denses et se créent des emplois sur place, diminuant du même coup le besoin de mobilité si cher en infrastructures, en terres dévastées, en énergies dépensées !
Reste à ce que le BTP trouve d'autres débouchés plus écolos comme la rénovation des villages anciens si pittoresques (dans la mesure où on couple cette restauration avec la création d'emplois sur place).

quand les lois se bousculent et avec elles les incohérences il ne faut pas s'étonner de tels résultats.
Dans un pays la France) où la construction de 90 logements de très bonne qualité a été annulée parce que quelques mauvaises herbes typiques de zone dite humide seraient à conserver, gelèrent près de 20% de la surface d'un terrain situé en cœur de ville et ont ainsi fait perdre toute l'attractivité des lieux, inutile de chercher plus loin. Les politiciens marchent sur la tête et les citoyens paient les conséquences de ces lois absurdes. Les terrains constructibles deviennent très rares en cœur de ville et de telles lois rendent leur prix au m2 inabordable