CITE : les professionnels appellent l'Etat à ne pas stigmatiser les fenêtres

par BATIACTU il y a 6 ans
INDIGNATION. L'Union française des menuiseries extérieures (UFME) appelle l'Etat à retirer ses propos selon lesquels le remplacement des fenêtres avait un "mauvais rapport cout/bénéfice" .
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29 réponses à ce sujet
Publié : il y a 6 ans
Si le CITE disparaissait que deviendrait la qualif RGE chèrement acquise par nos artisans? Je pense qu'ils baisseront les taux mais ne peuvent pas les supprimer sinon bonjour la révolte chez les artisans qui ont investit du temps et de l'argent pour ce label!!!​
Publié : il y a 6 ans
Les professionnels de la fenêtre n'ont que ce qu'ils méritent ! (du moins beaucoup d'entre eux). Je suis architecte de copropriété, et aux premières gelées de novembre, je croule sous les appels de gens qui voient de la condensation chez eux. Ils ont tous un point commun : ils ont changé leurs fenêtres pendant l'été ! Et les professionnels qui ont fait ça leur ont vendu du crédit d'impôt (plus que de la fenêtre), et considèrent que les problèmes induits de chauffage-ventilation-circulation d'air ne les regardent pas !
Publié : il y a 6 ans
Patrick Bouvet. "Une suppression du CITE pourrait donner le coup de grâce à certains acteurs.".....les pauvres , et tous les artisans qui se sont retrouvés sur la paille a cause du RGE ,a ne faire plus que du depannage .....

on va pouvoir reposer des fenetres ?? PLUS DE CITE ca fera baisser les prix !!!
Publié : il y a 6 ans
bonjour

étant artisan menuisier le label rge ma couté de l argent et du temps

c'est très bien comme ça on pourra en sortir et les clients feront des économie, ils changeront les fenêtre quand même ,car tout les clients ne bénéficié pas des aides, et ils changeaient quand même, et des grosses entreprise en profité pour augmenter les prix en conséquence des aides , le marché redeviendra ,plus sein ,

par contre les propos disant qu'il n y as pas d économie suite au changement des fenêtres est faux et très méprisant envers notre profession il devrait changer ces fenêtres et en remettre des anciennes je pense qu ils va voir la différence
Publié : il y a 6 ans
les fenêtres c'est 10 à 15% des déperditions d'un bâtiment en moyenne. à moins d'un batiment totalement vitré ! of course ! donc oui pour un investissment 10 fois supérieur à l'isolation des combles et deux fois moins "efficace" que les 20 à 30% de déperditions en toiture. ben ouais quoi c'est évident c'est moins efficace ! cela dit, pleurer comme ça alors qu'un chantier sur 2 en rénovation concerne les fenêtres, faut pas exagérer !!
Publié : il y a 6 ans
Sans vouloir plaider pour ma paroisse (je suis architecte), la gestion énergétique est, on le sait, globale. Changer des fenêtres sans s'occuper des autres postes d'isolation, de la ventilation, etc... est incohérent, voir dangereux.

Le CITE devrait ainsi être appliqué à tous les lots participant à une meilleure performance énergétique, à la seule condition qu'il y ait une maîtrise d’œuvre APD globale (BE Thermique et/ou Architecte).

Cela mettra les professionnels sur un même pied d'égalité, et tirera la performance réelle vers le haut.

Cela éloignera également certains commerciaux qui vendent de la m***e pour des fenêtres performantes...
Publié : il y a 6 ans
Il ne faut pas tout mélanger, tout ceux qui pose des fenêtres ne sont pas forcément des fenêtriers. Moi je suis artisan,je pose des fenêtres en plus de toute les autres activités d'un menuisier. Si nous perdons le CITE, les clients vont réfléchir à deux fois avant de faire poser des fenêtres, 30% de crédit d’impôt en moins ainsi qu'une TVA qui passe de 5,5% à 10%. Sans compter que, certes à contre cœur, j'ai aussi passer le RGE!!! PS: Toute les entreprises ne sont pas non plus des voleuses, c'est pas parce qu'il y a un crédit d’impôts qu'ont augmente les prix.
Publié : il y a 6 ans
Bien évidemment que c'et une connerie de remplacer les fenêtres en bois de chêne et en bon état par des fenêtres en PVC sans aération et pire par des fenêtres en Aluminium!!

Une vielle personne proche de ma famille a fait remplacer toutes ses fenêtres et volets en bois de chêne, alors que la maison avait été rénovée moins de 15 ans auparavant, c'est en plus l'architecte des monuments de France qui a pondu cette réglementation dans un village de Corrèze à 700 m d'altitude. dans ce cas ce sont tous les professionnels du bâtiment qui sont des voyous car elle consomme autant sinon plus qu'avant avec les ponts thermiques de l'aluminium! Tout le monde sait que l'aluminium est un isolant , commençons par l'interdire dans la construction des fenêtres, portes et persiennes
Publié : il y a 6 ans
Surtout pour tous ceux qui vendaient des fenêtres "made in Germany" alors qu'elles venaient tout droit de Pologne ou d'un autre pays de l'Est à bas coût en se prenant des marges colossales au passage !
Publié : il y a 6 ans
pour JM aubertie :BUG : aluminium est un excellent conducteur thermique !
Publié : il y a 6 ans
remarque sur l ' ISOLATION des fenetres .

quand le coeffiecient Uw ( vitre + chassis ) vaut 1.5 ce qui est le plus courant actuellement cela EQUIVAUT a une isolation de resistance thermique Rth = 1/Uw = 0.66 c'est a dire EQUIVALENT a 2 cm d 'isolant classique ( polystyrene ou laine de roche )

ce qui est INSUFFISANT !!!
Publié : il y a 6 ans
Le dispositif RGE n’aura fait que des perdants :

Perdants :

Les clients qui n’ont pas fait travailler leur « artisan de confiance », celui qui est garanti par la proximité, le bouche à oreille, le lien social qui existe entre un artisan « normal » et son client.

Nombre de ces clients, attirés par les primes gouvernementales ont été déçu du résultat, pourtant garanti par la communication mensongère de Qualibat, comme le démontre le témoignage de Marie Torim : https://www.facebook.com/marie.torim.3

Perdants :

Les artisans dont la marge commerciale n’était pas suffisante pour investir dans le RGE.

Car, avec une marge positive de 2% il faut 50 000 Euros de Chiffre d’Affaire en plus pour couvrir 1000 Euros de frais supplémentaires.

(la formule est CA = Frais / marge soit dans notre exemple 50 000 = 1000 / 0,02)

Nombreux sont les artisans qui ont une marge négative, donc bien moins que ces 2% positif,

par exemple tous ceux qui gagnent moins que le SMIC, ça fait déjà du monde.

Pour eux investir dans le RGE était un pari risqué, une erreur de gestion. Mais ne pas faire cet investissement était aussi une prise de risque, comme celui de perdre son Chiffre d’Affaire habituel, et cela surtout dans la période écoulée, économiquement dépressive.

Ces perdants représentent près de 85 % des artisans du bâtiment.

Perdants :

Les nombreux artisans qui ont relevé le défi d’être RGE, mais qui n’ont pas eu finalement les chantiers capables de le financer, avec des tarifs supérieurs au marché de base.

Ceux là auront hésité longuement, et font à la fin un amer bilan sur le résultat de toutes ces contraintes, difficile à évaluer correctement à l’avance.

Ces perdants représentent environ 10% des artisans du bâtiment.

Perdants :

Ceux qui avaient tout pour être RGE, mais qui pour un détail ont été refusé. Comme par exemple un ébéniste avec un salarié, qui réalise une partie non négligeable de son CA dans l’isolation. En fin de parcours, après avoir tout payé, il se voit privé d’exercer ses compétences, uniquement en raison de sa non cotisation à une Caisse de Congés Payés, ce qui vous conviendrez, n’a rien à voir avec la qualité du travail ou son honnêteté commercial.

Ces perdants sont peu nombreux, mais leur existence démontre le fondement du système qui est conçu pour capter des assujettis, les contraindre à cotiser à une association, en totale contradiction avec le droit négatif d’association de l’article 11 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme, ratifié par la France, mais ici piétinée.

Perdant :

La dynamique de la transition énergétique, qui a servi d’alibi à toute cette malhonnête mise en scène. C’est un peu comme si l’objectif était de dégouter un maximum de gens de la cause environnementale. Une partie de tous les « perdants » pourraient bien assimiler leur malheur à cette cause qui se trouve ainsi complètement saboté par le dispositif du gouvernement.

Cette incohérence, entre les discours et les réalités, contribue à faire douter les citoyens de leurs représentants politiques et syndicaux, c’est un facteur de perte de confiance.

http://www.melchior.fr/video/yann-algan-le-role-de-la-confiance-dans-leconomie

C’est donc toute la société française qui est perdante, ce qui est peut être le plus grave.

Enfin pour les seuls gagnant du RGE, soit 5% des artisans maximum, peut être 2%

le glas commence à sonner, fin de la partie, les sirènes de la catastrophe à venir s’emballent.

Pour ces 5 %, qui en profitent depuis 2014, le pire est à venir plus ou moins vite.

Mais pour les autres, les 95 %, plus vite cela s’arrêtera et mieux cela vaudra.

Ce ne sera que le retour à un marché non faussé.
Publié : il y a 6 ans
et pourquoi pas ne donner ces aides qu'en fonction des revenus . Plus on est isolé moins on consomme etc...
Publié : il y a 6 ans
Les aides ont un effet inflationniste sur les devis. C'est un argument de vente bien connu des entreprises. Le marché de la fenêtre est très lucratif pour un bon nombre d'entreprise promouvant le pvc. On remplace déjà des équipements de moins de 15 ans qui ont mal vieilli. Sans parler de l'esthétisme et de qualité perdue dans le bâti ancien. Ne parlons pas du recyclage de tel matériau. Le bois noble contre le pétrole. Ainsi va la vie et le logement.
Publié : il y a 6 ans
Si on veut un mouvement généralisé, le cite est pour tous. Ce qui reintingre des ménages des ménages moyen qui n'ont pas droit aus aides. Or ce sont eux qui ont les moyens d'investir et de monter en gamme dans les travaux. Et être pourvoyeur de chantier.

Les plus modestes sont soumis à étude de dossier et sont bien incapables seuls de faire face à l'offre pléthorique à prix et devis incomparable les uns des autres car trop techniques. Ou avec des remises sorties du chapeau.

En la matière. Le pire et le meilleur.

Marche prospère pour le quidam de base.
Publié : il y a 6 ans
Bonjour L'état a raison sur le plan thermique car changer des fenêtres sans étude globale de l'habitat c'est comme mettre des nouveaux pneus sur une vielle voiture dont le moteur ne fonctiojne plus. L'intérêt est dans le neuf donc uniquement dans le respect global de la RT du moment. Cela ne profite qu'aux Stés qui "placent" des fenêtres avec des commerciaux souvent sans scrupules ni connaissances et aux prix fort leur PVC... La France doit revoir le dossier des logements anciens qui sont des passoires et qui n'arriveront jamais au summum à atteindre sur le plan énergétique. Non l'immobilier n'est plus intéressant d'ailleurs sur l'ancien en son état, vu les prix du marché c'est un mauvais placement selon les régions. Préférer le neuf sous réserve d'une bonne approche thermique et abordez la maison passive, la seule qui répond déja économiquement, car intéressante pour les habitants.
Publié : il y a 6 ans
Le CITE était un bon dispositif pour permettre la rénovation du parc immobilier, tout particulièrement pour les ménages à revenus modestes voir très modestes. Tout le monde semble l'oublier mais l'objectif du RGE consistait justement à réaliser une étude thermique globale et préalable afin de déterminer les travaux prioritaires et la nature et coefficients des matériaux.

Or beaucoup d'entreprises, malgré la charte RGE, n'ont pas du tout jouer le jeu et n'ont pas fait cette étude et surtout ont fait cavalier seul pour s'assurer de placer leurs produits avec pour seul objectif de marger quitte à franchir sans aucun scrupule la ligne de l'honnêteté.

Le bâti ancien possède beaucoup de vertus et le voir traiter de passoire qui ne pourra pas atteindre les objectifs thermiques et que pire la seule solution est uniquement dans la réalisation de logement neuf est une erreur monumentale, une catastrophe architecturale, identitaire et écologique (disparition de terres cultivables).

Il existe une formation à l'université justement pour intervenir en bâti ancien : DU BATIR: bâti ancien et technologies innovantes de restauration.....

La formation reste le meilleur moyen d'être en mesure de relever les défis technologiques, énergétiques, écologiques aux quels nous sommes déjà confrontés ainsi que ceux à venir
Publié : il y a 6 ans
Non l'état n'a pas raison. Le seul constat est son désengagement financier dans la rénovation énergétique!
Publié : il y a 6 ans
La pose d'un double vitrage fenêtre ou porte-fenêtre apporte incontestablement un peu de confort à l'intérieur d'un logement mais il faut se rendre à l'évidence même si nos prix se rapprochaient des prix allemands incontestablement plus bas que les nôtres pour ces fournitures il est vrai que le remplacement de ces produits représente un mauvais rapport "coût/bénéfice" en termes énergétiques. Voir

https://www.dropbox.com/s/d99lwgz2ip2xov1/WA-isole.pdf?dl=0

Un gain de consommation en énergie finale de 20 % en passant au double vitrage est bien un maximum alors qu'une pompe à chaleur eau eau ayant un COP de 5 divise cette consommation par 5 par rapport au chaînes énergétiques actuelles

Ce n'est pas la même chose.
Publié : il y a 6 ans
J'avoue être perplexe, car en effet, une fenêtre ou une porte est une ouverture sur l'extérieur et ne pourra jamais atteindre la performance d'isolation d'un mur aveugle isolé avec quelque matériaux que ce soit.

Pour autant, la RT 2012 a fait apparaitre deux notions fondamentales, à savoir la dissociation des performances par éléments (pour éviter une surcharge de performance là où elle est facile à mettre en place, comme les combles perdus par exemple) et la notion de confort avec en particulier la notion d'étanchéité à l'air et le traitement des ponts thermiques.

Remettre en cause un élément au milieu des autres, les menuiseries en l'occurence, sous prétexte d'un rapport cout/bénéfice insuffisant c'est faire un retour en arrière et renier le bien fondé de l'homogénéité et la cohésion des ouvrages dans la construction.

Enfin, que dire du cout pour les particuliers... Investir dans un chauffage à énergie renouvelable et/ou une isolation par l'extérieur, ce sont de retour sur investissement qui flirtent avec les 20 ans... La menuiserie aurait elle un retour sur investissement à moins de 10 ans. Quelle lecture doit on donner dans ce cas au bénéfice/cout ?
Publié : il y a 6 ans
Bonjour de toute façon il faut être aveugle et sourd pour ne pas comprendre que l'issue est la production et productivité le coût et donc dans les pays à bas prix et l ´étape suivante (proche) la robotisation de masse

Cordialement
Publié : il y a 6 ans
Le porte parole des Lutins thermiques sont 100% d'accord avec l'Ademe: la performance énergétique rime avec la performance économique" et ne doit pas être considérée comme un frein pour les industriels, mais comme une opportunité.

Une opportunité de rappeler deux citations

Celle des Lutins thermiques: "L'absence de concurrence est une plaie pour celui qui attend et une niche pour celui qui entreprend"


Celle de Stephen Hawkins physicien britannique:

"L'intelligence est la capacité d'adaptation au changement"

​ le retour sur investissement de la pose d'une fenêtre set a minima 25 ans et plutôt 75

Je suis alors que le retour sur investissement d'une pompe à chaleur pour l'habitat c'est inférieur à 10 ans dans l'individuel et probablement moins pour le collectif
Publié : il y a 6 ans
Tous derrière vous

Nous avons fait le stage RGE et nous payons tous les ans pour que nos clients puissent bénéficier de réductions d'impôts ....tous ça pour rien .,!!!

J'ai l'impression qu'on sait fait enfler , merci
Publié : il y a 6 ans
Inadmissible quand on se rend compte que nos clients nous disent qu ils gagnent jusqu à 5 degrés en changeant toutes leurs fenetres !!!!!! Et la RGE qu ils nous ont fait passés par obligation ??? ils vivent ou ces personnes du gouvernement dans des igloos ? ou dans des logements simple vitrage ? Y'en a marre d'etre pris pour des vaches à lait
Publié : il y a 6 ans
Il manque un mode d'emploi pour les vitrages: mettre du bon double vitrage avec de l'isolation par l'intérieur, selon la RT 2012, peut devenir improductif et pousser à la clim. Dans le cas des baies, il y a une contradiction très forte entre - vitrer large- les apports solaires- et l'isolation par l'intérieur.

C'est seulement du bon sens. Les vitrages sont intéressants en cas d'isolation répartie ou isolation par l'extérieur... Donc il y a à boire et à manger sur l'efficacité des baies en rapport au système constructif.
Publié : il y a 6 ans
Bonjour,

Je ne parlerai pas de l'utilité ou non du CITE, il y a du bon (incitation à rénover) et du mauvais (augmentation du prix par rapport à nos voisins sans CITE par ex), mais:

En matière de rénovation énergétique (ou en construction neuve) les fenêtres font parties d'un tout. L'on ne va pas non plus murer les ouvertures sous prétexte que le coef d'une fenêtre est très faible par rapport au mur par ex. Il ne faut pas regarder seulement le coef entre une fenêtre neuve et une vielle. Pour la plupart des menuiseries bonnes à changer il y a de gros problèmes d'étanchéité à l'air et pas seulement au niveau des liaisons avec le bâtis ( joints usés ou absents, ouvrant/dormant non jointif etc... bref de vielles menuiseries). De plus les ouvertures bien exposées apportent leur lot de calories via le soleil, le tout est de bien gérer entre apports et déperditions (exposition, volets extérieurs, brises soleil etc?.), et là effectivement une bonne expertise s'impose.

A ceux qui écrivent ci-dessous qu'il faut rénover tous les lots, ou qu'il vaut mieux faire ceci ou cela et s'entourrer d'un MOE et/ou BE thermique, bien sure!! Mais il ne faut pas oublier que les gens n'on pas forcement les moyens de rénover l'ensemble de leur bien immobilier en une seul fois et qu'il faut bien commencer par quelque chose. Et s'en les moyens de ce payer un expert on tourne en rond.

Le RGE n'y a rien changé, si un plombier est appelé pour changer une chaudière alors que la maison est une passoire, s'il a besoin de bouffer il vendra une chaudière point, mais dans tous les cas une chaudière récente vaudra mieux qu'une vielle poubelle etc etc?

Slt

?
Publié : il y a 6 ans
Le problème de fond n'est pas de savoir si le remplacement des fenêtres est plus ou moins utile, comparativement à d'autres postes.

Le problème de fond, ce sont les crédits d'impôts en général.

Depuis longtemps, je pense que le principe du crédit d'impôts est une hérésie, quel que soit le sujet. L'observation montre que les crédits d'impôts "aident" à gonfler les prix, et profitent d'abord au fabricant, puis à l'installateur. Le client final a l'impression de faire une affaire, mais en fait, il paye plus cher ses fenêtres/son isolation/sa pompe à chaleur/ ses capteurs photovoltaïques/ son appartement défiscalisé, etc. Pour rester sur le sujet "fenêtres", on change ses fenêtres lorsqu'il est nécessaire de les remplacer, pas en fonction de crédits d'impôts. on est arrivé à des raisonnements totalement biaisés!

Quant à la qualification RGE....Il y aurait beaucoup à dire...
Publié : il y a 6 ans
Lorsque je vois écris" mes clients gagnent 5° en changeant leur fenêtres" je demande à voir le chantier. En tant que pro du bâtiment sans appartenance politique ou syndicale, j'ai effectué différentes formations énergétiques notamment celle sur les logiciels de diagnostic. A l'époque les formateurs insistaient bien sur le fait de "vendre" un bouquet de travaux car l'isolation des combles s’amortissent en 2 ans et les fenêtres sur 25 ans mini. En présentant le bouquet, avec le calcul de gain vous arrivez entre 8a 10 ans (ce que le client accepte). Après que les marges vont fondre, ça c'est sur! car comme a chaque arrivé d'un crédit d’impôt les prix s'envolent et à chaque arrêt de crédit d'impôt les prix diminue.
Publié : il y a 6 ans
Je suis d'accord arrêtons de mettre le marché sous perfusion d'aides qui oriente les choix qui deviennent économiques au détriment de la performance et parfois du bon sens ! arrêter de croire ou de dire qu'il existe une solution pour faire des économies ou pour lutter contre le réchauffement climatique il n'y a pas une solution mais des milliers de solutions ah si il y a une solution : l'intelligence ! et la jeunesse ! alors je m'adresse à la prochaine génération : désolé ! on compte sur vous ! parce que nous on n'est pas bon
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