Infrastructures routières : la Cour des comptes s'alarme (encore)

par BATIACTU il y a 5 ans
TRANSPORTS. La Cour des comptes tire la sonnette d'alarme sur plusieurs dossiers dans son rapport portant sur l'exécution budgétaire 2017 de la mission "Ecologie, développement et mobilité durables" : de l'AFITF (Agence de financement des infrastructures de transports de France) à la RCEA (Route Centre Europe Atlantique), les sujets d'inquiétude sont nombreux pour l'institution publique.
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6 réponses à ce sujet
Publié : il y a 5 ans
Ce n'est pas nouveau et il ne faut pas de la cour des comptes pour voir les dégâts que nos politiques nationaux et locaux font des routes en France. Tout est en déconfiture sauf les revenus et dépenses royales de toute cette mafia qui continue d'ailleurs comme si rien n'était.
Publié : il y a 5 ans
@François Laurent :
Je partage pleinement votre avis.
Il y a de l'argent pour festoyer pour l'obtention des JO, pour construire à prix exorbitant des délires d'architectes payés à prix d'or, financer des campagnes de communication contre le sexisme, l'homophobie, la racisme, l'exclavagisme ..... etc mais pas un sou pour l'entretien des routes alors que l'on s'alarme (quel euphémisme !) de la mortalité routière que l'on va résoudre par une répression routière juteuse pour l'état mais dont les gains ne servent qu'à alimenter le puit sans fond d'une république bananière. Il serait temps que les gentils contribuables, généreux donateurs, se mobilisent et envoient un signal fort contre ce que vous qualifiez de "mafia" afin de les mettre tous dehors et que l'on reprenne notre destinée.
Publié : il y a 5 ans
Lorsque la pancarte "trou en formation" coûte plus cher que le bitume qu'il aurait fallu mettre en place pour le boucher on peut raisonnablement s'interroger sur la façon dont nous dépensons notre argent
Publié : il y a 5 ans
Oui à toutes les opinions exprimées.
Les routes et plus encore les rues sont devenues les variables d'ajustement des budgets de la nation et des collectivités territoriales. Ce n'est plus admissible.
J'attire l'attention à ce propos sur les responsabilités des opérateurs de réseaux qui éventrent de plus en plus souvent les rues pour y installer leurs réseaux, édicules, chambres de tirage etc., les renforcer et les réparer. Ces excavations font vieillir prématurément les chaussées, bien au-delà des seuls revêtements.
Cette question et l'exaspération des citadins devant le phénomène des chantiers permanents mériteraient une politique énergique et non l'habituel "on n'y peut rien". Et ce d'autant plus que'une recherche appliquée menée il y a 15 ans a montré qu'on pouvait sérieusement changer les choses si on le voulait.
Publié : il y a 5 ans
@guessguess tout ça c'est la faute d'Hidalgo, du lobby LGBT et des migrants qui viennent jusque dans nos bras égorger nos fils et nos compagnes.
Publié : il y a 5 ans
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