Les chiffres-clés du marché de la fenêtre en France
par BATIACTU il y a 5 ans
RADIOGRAPHIE. Une étude offre un tour d'horizon du marché de la menuiserie en France. Matériaux utilisés, niveau de ventes, perspectives pour 2019 : découvrez-en les principales données.
1 réponse à ce sujet
Publié : il y a 5 ans
On peut comprendre les professionnels inquiets de leur business.
Effectivement, le politique ne fait pas grand cas de l'organisation industrielle que nécessite le CITE précédent et de l'orientation qu'il lui fait prendre en changeant radicalement son fusil d'épaule.
Macron essaie de résoudre la chienlit dans laquelle les anciens nous ont mis, certes un peu brutalement (5 ans de mandat, c'est bien court pour un résultat probant).
Seulement, il faut rappeler que le CITE est une aide financée par les deniers publics, donc les nôtres ... et que ce dispositif est mis en place afin de réduire la consommation énergétique française, il se doit donc d'être efficace.
Or, nous savons qu'en moyenne, les simulations de retour sur investissement sur les fenêtres est de 50 ans, et pour les murs de 4 ans, à cause du prix de revient et du manque d'efficacité des vitrages dans l'absolue.
Il eu mieux valu améliorer l'aide en tenant compte de la situation de départ, à savoir l'état des fenêtres existantes, car bien souvent, je constate que mes clients veulent les changer alors qu'ils ont déjà des double-vitrages, juste "parce qu'elles sont vieilles" ....
Donc fini la gabegie ...
Et de réserver, à minima, le CITE qu'aux seules fenêtres réellement efficaces, soit dormant>10cm, triple vitrage, pvc ou bois/alu, couleur blanche, serait un plus.
A remettre en cause aussi, le sujet des VMC ne serait pas du luxe non plus, car une très grande quantité d'habitation est équipée de système énergivore et rien n'est incité dans ce domaine.
Or le simple remplacement de bouche d'extraction et de grille d'amenée d'air en type hygroréglable ne coûte pas cher, est simple à mettre en place et rapporte beaucoup.
Les arrêtés ministériels fixant les débits de ventilation devraient être révisés, conçus à une époque où la problématique énergétique n'était pas le sujet prioritaire, je doute que les débits imposés soient adaptés au réel besoin.
Et cessons de confier ce sujet aux électriciens qui n'est pas de leur compétence réelle.
Effectivement, le politique ne fait pas grand cas de l'organisation industrielle que nécessite le CITE précédent et de l'orientation qu'il lui fait prendre en changeant radicalement son fusil d'épaule.
Macron essaie de résoudre la chienlit dans laquelle les anciens nous ont mis, certes un peu brutalement (5 ans de mandat, c'est bien court pour un résultat probant).
Seulement, il faut rappeler que le CITE est une aide financée par les deniers publics, donc les nôtres ... et que ce dispositif est mis en place afin de réduire la consommation énergétique française, il se doit donc d'être efficace.
Or, nous savons qu'en moyenne, les simulations de retour sur investissement sur les fenêtres est de 50 ans, et pour les murs de 4 ans, à cause du prix de revient et du manque d'efficacité des vitrages dans l'absolue.
Il eu mieux valu améliorer l'aide en tenant compte de la situation de départ, à savoir l'état des fenêtres existantes, car bien souvent, je constate que mes clients veulent les changer alors qu'ils ont déjà des double-vitrages, juste "parce qu'elles sont vieilles" ....
Donc fini la gabegie ...
Et de réserver, à minima, le CITE qu'aux seules fenêtres réellement efficaces, soit dormant>10cm, triple vitrage, pvc ou bois/alu, couleur blanche, serait un plus.
A remettre en cause aussi, le sujet des VMC ne serait pas du luxe non plus, car une très grande quantité d'habitation est équipée de système énergivore et rien n'est incité dans ce domaine.
Or le simple remplacement de bouche d'extraction et de grille d'amenée d'air en type hygroréglable ne coûte pas cher, est simple à mettre en place et rapporte beaucoup.
Les arrêtés ministériels fixant les débits de ventilation devraient être révisés, conçus à une époque où la problématique énergétique n'était pas le sujet prioritaire, je doute que les débits imposés soient adaptés au réel besoin.
Et cessons de confier ce sujet aux électriciens qui n'est pas de leur compétence réelle.
Répondre à ce sujet
Les chiffres-clés du marché de la fenêtre en France