Les sociétés d'autoroutes jugées trop rentables - Batiactu
par BATIACTU il y a 9 ans
Les sociétés d'autoroutes françaises sont pointées du doigt par un rapport de l'autorité de la concurrence. En ligne de mire : leur rentabilité excessive et un manque de mise en concurrence dans les appels d'offres. Détails et réactions.
6 réponses à ce sujet
Publié : il y a 9 ans
Cette publication vient bien tard , la situation de "trou noir financier" des groupes de BTP cités qui "gèrent" les autoroutes aura été protégée depuis longtemps par les "amitiés" et le manque de "compétence" à gérer l'argent public . nous connaissons tous ce sentiment que le coût d'un trajet autoroutier coute une somme qui semble décalée par rapport au coût réel. Les 20 à 24 % de rentabilité évoqués me semblent bien "faibles" lorsque l'on sait que ces groupes financent en plus leur propres entreprises qui elles même augmentent ces rentrées d'argent....Le groupe Vinci à tellement de trésorerie qu'il construit et "gère" des parkings de ville , les aéroports (Nantes) et autres infrastructures qui peuvent ensuite rapporter avec un loyer non contrôlables .... l'histoire se poursuit et la nébuleuse s'accroît...
Publié : il y a 9 ans
un monopole d'état remplacé par un monopole privé :on voit ce que cela donne .dans notre communauté de communes, une seule à concéder la distribution de l'eau à une société privée: résultat l'eau est deux fois plus chère.Actuellement les artisans sont obligés de payer une complémentaire pour leurs salariés auprès de compagnies privées. Il faudrait faire une enquête pour savoir si celui qui a bradé les autoroutes était naïf ou complice , les casseroles trainées par dizaines par ses copains soit-disant libéraux prouvent plutôt la complicité: mais chut ! il ne faut rien dire : c'est cela le libéralisme.
Publié : il y a 9 ans
Concurrence ?? A l'exception de Strasbourg- Bâle, l'automobiliste n'a jamais le choix de son autoroute. Bizarre, celles-ci sont publiques et gratuites !
Pour en revenir au cadeau fait au privé, ne pensez-vous pas qu'une "grande campagne" qu'on a finalement pas besoin de financer, ça laisse de la marge, beaucoup de marge.Il suffit de s'attarder sur le moment exact des privatisations, les replacer dans un contexte très particulier pour comprendre!
La privatisation des autoroutes est un des plus grand scandale de ces dernières années, mais il reste super bien étouffé ! On préfère parler d'un président à scooter. Pour les média,il n'y a vraiment aucun risque et ça rapporte autant! C'est ça le courage !
Messieurs, Mesdames, les journalistes tournez vous vers les vraies investigations et les informations qui peuvent vraiment faire changer les choses, soyez un vrai contre-pouvoir, pas des timorés, ni des projecteurs du futile.
Pour en revenir au cadeau fait au privé, ne pensez-vous pas qu'une "grande campagne" qu'on a finalement pas besoin de financer, ça laisse de la marge, beaucoup de marge.Il suffit de s'attarder sur le moment exact des privatisations, les replacer dans un contexte très particulier pour comprendre!
La privatisation des autoroutes est un des plus grand scandale de ces dernières années, mais il reste super bien étouffé ! On préfère parler d'un président à scooter. Pour les média,il n'y a vraiment aucun risque et ça rapporte autant! C'est ça le courage !
Messieurs, Mesdames, les journalistes tournez vous vers les vraies investigations et les informations qui peuvent vraiment faire changer les choses, soyez un vrai contre-pouvoir, pas des timorés, ni des projecteurs du futile.
Publié : il y a 9 ans
Notre modèle social peut se définir assez simplement.
C'est un « clientélisme d'état », une forme noble de la « république bananière ».
Autrefois cela s'appelait un « système féodal », mais plus maintenant, car les concepts, comme les cravates, sont victimes de l'obsolescence programmée.
En haut vous avez la classe politique, celle qui gouverne.
Les gouvernants subventionnent une moitié de la France, qui en retour les soutient.
Ce rapport d'interdépendance existe particulièrement avec les Grandes entreprises,
mais aussi avec les syndicats, les administrations publiques et les individus vivants des aides publiques. Les apparentes contestations sont souvent la manifestation d'une concurrence conflictuelle, entre toutes ces entités, qui luttent pour capter les subventions.
A côté, il y a l'autre moitié de la France « la France laborieuse et silencieuse »
C'est elle qui paie des impôts, lorsqu'elle n'est pas en crise.
Mal organisée pour faire partie des subventionnés, le nez toujours dans le guidon,
en retour elle reçoit des clopinettes symboliques.
Depuis les années 75/80 les grandes entreprises financières ont pris le contrôle des gouvernants, quelque soit les alternances, grâce à un hold up historique car décisif.
LA PRIVATISATION DE LA CREATION MONETAIRE.
C'était bien plus grave que la privatisation des autoroutes, mais bizarrement personne n'en parle, aucune menace d'enquête sur ce sujet sensible, et pourtant primordial, car sans cet acte majeur et crapuleux, la dette de la France serait 10 FOIS MOINS IMPORTANTE.
Ce qui changerait complètement l'ambiance politique et sociale.
Par ce seul fait le « clientélisme d'état » fait place progressivement à un
« ETAT MAFIEUX et déliquescent »
où le pouvoir politique fantoche est sous le contrôle des grandes entreprises, elles même dépendantes du pouvoir d'une dizaines de grosses nébuleuses financières occidentales
qui, sans foi ni loi, sont capables de déclencher une guerre mondiale pour défendre leur hégémonie.
Alors parlons-en et pour cela informez-vous :
http://www.inter-agir.fr/
https://www.youtube.com/watch?v=syAkdb_TDyo
C'est un « clientélisme d'état », une forme noble de la « république bananière ».
Autrefois cela s'appelait un « système féodal », mais plus maintenant, car les concepts, comme les cravates, sont victimes de l'obsolescence programmée.
En haut vous avez la classe politique, celle qui gouverne.
Les gouvernants subventionnent une moitié de la France, qui en retour les soutient.
Ce rapport d'interdépendance existe particulièrement avec les Grandes entreprises,
mais aussi avec les syndicats, les administrations publiques et les individus vivants des aides publiques. Les apparentes contestations sont souvent la manifestation d'une concurrence conflictuelle, entre toutes ces entités, qui luttent pour capter les subventions.
A côté, il y a l'autre moitié de la France « la France laborieuse et silencieuse »
C'est elle qui paie des impôts, lorsqu'elle n'est pas en crise.
Mal organisée pour faire partie des subventionnés, le nez toujours dans le guidon,
en retour elle reçoit des clopinettes symboliques.
Depuis les années 75/80 les grandes entreprises financières ont pris le contrôle des gouvernants, quelque soit les alternances, grâce à un hold up historique car décisif.
LA PRIVATISATION DE LA CREATION MONETAIRE.
C'était bien plus grave que la privatisation des autoroutes, mais bizarrement personne n'en parle, aucune menace d'enquête sur ce sujet sensible, et pourtant primordial, car sans cet acte majeur et crapuleux, la dette de la France serait 10 FOIS MOINS IMPORTANTE.
Ce qui changerait complètement l'ambiance politique et sociale.
Par ce seul fait le « clientélisme d'état » fait place progressivement à un
« ETAT MAFIEUX et déliquescent »
où le pouvoir politique fantoche est sous le contrôle des grandes entreprises, elles même dépendantes du pouvoir d'une dizaines de grosses nébuleuses financières occidentales
qui, sans foi ni loi, sont capables de déclencher une guerre mondiale pour défendre leur hégémonie.
Alors parlons-en et pour cela informez-vous :
http://www.inter-agir.fr/
https://www.youtube.com/watch?v=syAkdb_TDyo
Publié : il y a 9 ans
lA CONCURRENCE EST UNE ILLUSION de plus d'une fausse démocratie...
Publié : il y a 9 ans
Nous avons financer la construction des autoroutes, celles-ci ont ensuite été bradées en des concessions privées qui ont continué à augmenter les tarifs. L'ouverture à la concurrence dont les commissaires européen sont les chantres, est un leurre. C'est une machine à engranger l'argent encore et encore et toujours plus dans les mêmes poches, celles des grands groupes.
Avant, on pouvait gonfler ses pneus gratuitement, il 'y avait pas autant de cochonneries sur les bandes d'arrêt d'urgence
N'oublions pas aussi la casse sociale que cette privatisation a engendré, il n'y a plus guère de personnes aux guichets, bien sur pour un travail pas très agréable mais qui constituait un petit boulot pour des étudiants ou des personnes dans le besoin, et quelques automobilistes généreux pouvaient parfois laisser un peu de pour boire. Partout l'humain est est remisé, ce mauvais calcul nous conduira malheureusement droit au mur, les dirigeants devraient revoir leurs livres d'histoire.
Avant, on pouvait gonfler ses pneus gratuitement, il 'y avait pas autant de cochonneries sur les bandes d'arrêt d'urgence
N'oublions pas aussi la casse sociale que cette privatisation a engendré, il n'y a plus guère de personnes aux guichets, bien sur pour un travail pas très agréable mais qui constituait un petit boulot pour des étudiants ou des personnes dans le besoin, et quelques automobilistes généreux pouvaient parfois laisser un peu de pour boire. Partout l'humain est est remisé, ce mauvais calcul nous conduira malheureusement droit au mur, les dirigeants devraient revoir leurs livres d'histoire.
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