L'idée d'un recours administratif contre la RE2020 fait son chemin

par BATIACTU il y a 4 ans
COLÈRE. Ce n'est pas encore une fronde. Mais un vent de contestation se lève contre la future réglementation environnementale 2020, après la publication d'arbitrages étatiques favorisant le chauffage électrique et le retour des convecteurs électriques dans les logements.
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21 réponses à ce sujet
Publié : il y a 4 ans
Une réglementation environnementale ne devrait "favoriser" ni le gaz ni l'électricité mais faire diminuer drastiquement les consommations d'énergie notamment pour le chauffage. il est clair que le retour en grâce de l'électricité comme mode de chauffage est là pour justifier les EPR à venir mais le débat ne doit se faire entre le gaz et l'électricité mais sur le besoin, le service rendu! Le nouveau CEP va aussi favoriser le recours à la clim qu'il faut pourtant bannir. Bref on est loin d'une réglementation environnementale....
Publié : il y a 4 ans
Les grands médias se taisent parce que c'est un sujet particulièrement sensible: l'Etat panique littéralement face à la situation financière de l'ensemble de la filière électronucléaire. Après la gestion aventureuse et mal inspirée d'A. Lauvergeon, la déroute annoncée de l'EPR en Europe (en Chine, les critères de sécurité sont, disons, plus souples) et la fuite en avant d'EDF, la faillite de la filière n'est qu'une question de mois, et ça sera une catastrophe nationale. Alors, on cautérise sur la jambe de bois, avec des coups pendables comme ce dernier épisode touchant la R...2020. Ca serait risible si ça n'était pas tragique. On ne va évidemment pas se laisser traiter comme des débiles.
Publié : il y a 4 ans
Ce qui est complètement aberrant, c'est le coefficient actuel de 2,58 affecté au kWh électrique. Comme si toute l'électricité française était produite par des centrales thermiques. Dans la foulée, le coefficient actuel de 1 pour le gaz est tout aussi irréaliste : comme si le gaz venait tout seul, sans consommer d'énergie, des champs d'extraction de Russie ou d'Algérie jusqu'à nos maisons.
Qu'il y ait une légère correction semble donc tout à fait justifié, n'en déplaise aux gaziers.
Et même avec un coefficient de 2,3 affecté au kWh électrique, il sera impossible de tenir les objectifs avec de l'effet Joule. Le retour des grille-pains ou des cumulus électrique n'est pas inscrit dans la RE2020.
Publié : il y a 4 ans
nous construisons des maisons passives depuis plus de 5 ans et les besoins d' énergies pour l' ECS , le chaud et le frais d' été (le big problème est + le confort d' été que le chauffage d' hiver ) est tellement faible que la solution " gaz " est la moins performante et de très loin sur les plans de :
- coût de l' abonnement compteur gaz
- coût du contrat de maintenance (coute + que la totalité des KWH pour le chauffage )
- coût d' installation
- émission de CO² ( il faut du zéro CO² )
- risque mortel d' explosion ( combien de morts par an pour l' électrique et le gaz ? ? ? )
- obligation de faire appel à une entreprise hyper qualifiée ( peu de concurrence )
bref : la solution est : une mini PAC (2kW est ok pour 150m² ) pour l' ECS , chaud , Frais d' été . C'est de loin LA SOLUTION la plus simple et la moins coûteuse .
Publié : il y a 4 ans
La solution la plus simple, c'est du passif (du vrai, pas du au rabais qui nécessite encore d'installer des usines à produire de la chaleur, ou du froid, qu'il faut entretenir et remplacer) + de l'inertie et pas chauffage du tout.
Publié : il y a 4 ans
Quand on voit (rue de Trévise) que les canalisations de gaz sont vulnérables aux moindres affaissements de trottoir, le simple principe de précaution (inscrit dans la constitution) obligerait à réfléchir au remplacement de cette énergie par une énergie moins dangereuse. Mais le lobby gazier est puissant, depuis Poutine jusqu'à nos petits bureaux d'études thermiques qui défendent leur mode de calcul complètement incompréhensible.
Publié : il y a 4 ans
Je veux bien répondre à Ch. Loudéac qui manie le truc à la mode, avec l'accusation passe-partout de "complotiste". La filière électronucléaire va vraiment très mal. Et l'Etat en est le garant, que vous le vouliez ou non. Vous trouverez sans doute hilarant quand sa méga-dette sera fiscalisée, payée par nous tous. La solution, s'il y en a une, c'est d'investir massivement dans la performance thermique du bâti et faire passer à des valeurs minimes les besoins énergétiques. Il y a des moyens intelligents, écologiques et pas chers, pour cela. Vous pouvez venir vous former dans les Ecocentres (il y en a 12 en France) si vous avez trop de lacunes.
Publié : il y a 4 ans
Tout cela ce n'est que du vent. Tout les professionnels le savent bien, c'est le client final qui choisi, et malheureusement en privilégiant souvent le coût d'investissement, et en occultant les coûts de fonctionnement, de maintenance et consommations. (clients Publics ou privés).
Dans mon cas, je réalise systématiquement des études comparatives incluant les coûts de consommation et de maintenance, et le résultat c'est que depuis 3 ans environ, une installation sur 2 passe en chauffage électrique (radiateur à inertie).
Eh oui la légende qui disait que avec le RT 2012 le chauffage électrique était "interdit", à fait long feu.
Une isolation performante est la clé du succès, afin d'assurer un confort d'hiver et d'été. Le mode de chauffage devient annexe.
Donc arrêter tous de vous exciter comme des puces et faite appel à votre bons sens en isolant convenablement les bâtiment, mais pas à outrance non plus afin de ne pas créer d'usine à gaz pour le rafraîchissement.
Dernier point, tout ce que dit une réglementation n'est valable que pour le jour de la livraison du bâtiment. N'oubliez que lors d'une revente d'un bâtiment ou d'une maison individuelle, le nouveau propriétaire n'aura peut-être pas les mêmes exigence que le précédent et voudra absolument une clim pour son confort. C'est le client à l'instant T qui décide.
Publié : il y a 4 ans
Il est évident que les décisions politiques concernant RE2020 (et MaPrimeRenov) ont été influencées par les lobbys (nucléaire, Capeb, Fnb) mais la plupart des réactions sont centrées sur une opposition élec/gaz ! Enfumage ! Que ce soit en neuf ou en réno, la priorité des priorités est isolation / étanchéité/ventilation.
Lorsqu'on voit un commentaire d'un électricien qui parle d'isoler "mais pas à outrance", tout individu responsable devrait hurler pour la planète !
Lorsque des CMI et promoteurs osent proposer encore la merde de laine de verre, c'est du foutage de gueule, à la fois dangereux pour la santé et inefficace à moyen terme.
L'isolation ne devrait plus être inférieure à R=6, soit 20 cm dans le cas général.
La ventilation ne peut pas être autre chose qu'une double flux haut rendement et
les menuiseries équipées de triple vitrage Uw=0.8.
C'est à partir de ces éléments que la discussion sur le moyen de chauffage peut commencer.
Et dans ces conditions de lourdes installations apparaissent démesurées et pour rejoindre T Rieser, une petite PAC (3kW), intégrée à la VMC double flux peut répondre à la plupart des besoins pour les logements de 100/150 m². L'appoint complémentaire ou réglementaire (régulation pièce par pièce sauf dérogation) pouvant se faire par électricité directe (sèches serviettes, bouches chauffantes).
Publié : il y a 4 ans
La bonne energie en terme de bati est celle que l on ne depense pas....
Publié : il y a 4 ans
Il faut bien que les lobbys, le gaz en l'occurrence, justifient leur existence. Autant que ces recours n'ont aucune chance d'aboutir
Publié : il y a 4 ans
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué...De nos jours, un bâtiment très isolé (neuf ou rénovation lourde) n'a pas de gros besoins en chauffage. Des radiateurs électriques performants (fluide caloporteur + régulation suffisamment fine) apportent un confort réel, pour un investissement réduit et surtout sans aucun entretien ni risque de panne. Idem avec un chauffage électrique par le sol, qui apporte un confort encore supérieur.
Il est par suite logique de moins pénaliser l'électricité. A l'inverse, pourquoi un coefficient 1 pour le gaz? C'est tout aussi illogique.
Publié : il y a 4 ans
Bonjour
En lisant les différents propos, j'ai envie de dire que la question de l'électricité comme moyen de chauffage des logements ne peut être traitée qu'en cohérence avec celle de la transition énergétique au plan national. Elle ne doit surtout pas abonder dans le sens de la construction de nouveaux EPR, mais l'argumentation correspondante n'a pas sa place dans cet article.
A l'échelle du pays, et le temps de la transition, le gaz en cogénération serait probablement mieux placé que le nucléaire pour accompagner cette transition énergétique.

Ces préambules étant posés, ça permet de dire à mon sens oui à l'électricité dans des logements à très bonne performance énergétique, dès lors que cette énergie est propre, sure et pérenne (si l'on notait le nucléaire sur ces simples critères de bon sens, à chacun d'imaginer la suite ....).
Ainsi ça laisse la place à un peu d'électricité directe, aux pompes à chaleur, à l'habitat passif, au bois performant, au gaz, afin que chacun puisse choisir son mode de chauffage.
Je pense aussi que, concernant les maisons individuelles, la réglementation thermique devrait imposer aux travers d'une loi, l'installation de générateur PV de 3 kW mini.
ET pour les logements collectifs quelque chose d'équivalent à réflechir.

Quant à la question du CO2 de la filière nucléaire, c'est un raisonnement vraiment biaisé qui n'a pour seul objectif de le rendre crédible et d'éluder l'aspect économique, l'impact environnemental ded déchets, et la question de la sûreté (matériels, humain et risque terroriste).
Bonne journée à tous
Publié : il y a 4 ans
Bonjour,
Il est de bon ton aujourd'hui de parler d'environnement et c'est une bonne chose.
Là où ca me pose problème c'est quand on utilise l'environnement pour justifier des décisions économiques ou la sauvegarde de secteur...
Et quand ces décisions vont engendrer une dégradation de l'environnement je suis révolté!
Concernant le passage à 79 g pour le CO2 . Avec l'isolation des logements d'aujourd'hui, il n'y a quasiment plus de besoin de chauffage quand les températures sont supérieures à 10° , alors pourquoi prendre comme référence le taux de carbone de l'électricité lorsque les température sont clémentes ( 70g )?
Lorsqu'on a besoin de chauffage ( en hiver) le nucléaire ne peut pas faire face aux pointes. On fait donc appelle aux centrales thermiques en France et en Europe ( principalement allemande au charbon...) D'où ce taux marginal de 500 à 600gr de co2...
En remettant dans la course l'effet joule, on sollicitera encore plus cette énergie carbonée. Et ce n'est pas les PAC qui arrangeront les choses: Les COP des PAC baissent quand les températures se rapprochent de 0°. Cela va juste accentuer la demande aux moments critiques...
Concernant la baisse du Cep. C'est la première fois que je vois une valeur d'objectif comme référence immédiate ! Bref Objectif atteint ;-)...
Le Cep avait le mérite d'avoir une action sur les ressources de la terre.
Demain on va préférer exploiter plus de 2 à 3 fois plus de matière énergétique brut pour produire de l'électricité. ( origine du Cep ). Franchement pour les usages courants la question ne se pose pas, mais pour le chauffage!!!
On produit de la chaleur pour la transformer en électricité pour qu'elle soit ensuite de nouveau chaleur . Le tout avec un rendement médiocre ( Cep ).
Question efficacité c'est moyen...
Cette réglementation ne va pas orienter les bâtiments vers les objectifs de la Cop 21... c'est dommage !
Publié : il y a 4 ans
https://www.cyberacteurs.org/cyberactions/couvrezceturanium-quejenesauraisvoi-3533.html
Publié : il y a 4 ans
Il faut être ambitieux et ne pas se limiter à une vision à court terme, quand la durée de vie (moyenne) d'un bâtiment c'est au moins 50 ans. Cela veut dire ne plus avoir comme seul axe la limitation des consommations (certes indispensable dans une première phase de transition énergétique), mais également la recherche d'énergie propre (solaire ou autre…) en parallèle et à un autre braquet. Avec une énergie propre le "grille pain" ne sera plus un problème… Mais encore faudrait il se donner cet horizon comme objectif. A l'échelle de l'humanité et en se donnant les moyens, on devrait y arriver non ? En1962 l'idée de marcher sur la Lune apparaissait encore complètement folle à nombre de scientifiques, en 1969 c'était fait. Ca ne servait à (presque) rien mais on a réussi à trouver des milliards pour le faire. Alors pour sauver la planète (plutôt nous d'ailleurs…) on devrait pouvoir y arriver non ? Ce serait tellement plus simple et intéressant que de couvrir les territoires de "bâtiments thermos" tous alignés plein sud, qui j'en suis convaincu seront totalement obsolètes dans 30 ans… Après c'est sur, il y a le lobby pétrolier, sans doute plus difficile à contourner que d'aller sur la lune...
Publié : il y a 4 ans (Édité)
Il n'y aura jamais d'énergie propre, ne serait ce que par le fait que, pour créer de l'énergie, il faut toujours détruire quelque chose. Cela dit, il y a différents niveaux de pas propre, et le pompon revient certainement au nucléaire, n'en déplaise à ses admirateurs, adeptes de l'apprenti sorcier.
Et la meilleure solution sera toujours celle qui tend vers le moins de consommation possible (consommation globalisée, bien sûr, en tenant compte de tous les paramètres amont et aval)
Publié : il y a 4 ans
Pour répondre à Francis Le Bris, je précise que je ne range pas l'énergie nucléaire dans les énergies "propres".
Un bon niveau d'efficacité thermique sera toujours souhaitable, mais en l'associant avec un chauffage (ouh le gros mot !!) par énergie propre. Il s'agit d'avoir une approche plus équilibrée en terme d'efficacité énergétique. Il y a actuellement une véritable "hystérisation" du débat autour des économies d'énergies, comme unique solution, qui relègue de plus en plus les autres critères (urbains, économiques, architecturaux...) de l'acte de bâtir au second plan. Par ailleurs cette "course à l'armement" permanente, n'est pas neutre non plus en terme d'utilisation et de consomation de matériaux en tout genre (isolants, équipements divers, étanchéité à l'air etc...) qui font le bonheur des nombreux (et souvent nouveaux) lobbies qui en vivent...
Par ailleurs cher Francis j'ai lu votre profil et sans vouloir vous offenser, même "écologique, bioclimatique, passives ou a énergie positive" la maison ne constitue elle pas un contre modèle en terme d'environnement, ne serait que par sa consommation de foncier et la dépendance à l'automobile qu'elle génère... N'est elle pas un peu à la construction ce que le 4x4 est à l'automobile ?...
Publié : il y a 4 ans
Il y a aussi d'autres critères (vous les avez oublié dans votre liste).
Désolé, Patrick, je ne suis pas un adepte de l'urbanisation, et des clapiers verticaux, mais plutôt du ruralisme, avec de l'espace pour vivre, respirer et s'épanouir.
Et de toute façon, quand on voit ce que dépensent en énergie les urbains pour aller à la campagne ou à la mer, se ressourcer avec leurs SUV, ce n'est pas une hérésie d'habiter une maison. Surtout qu'avec un peu de terrain, on peut récolter des légumes, des fruits, des oeufs, etc ... Partager avec les voisins, acheter chez des producteurs locaux, etc ... Plutôt que d'acheter de la nourriture au supermarché, nourriture dont le bilan carbone ferait frémir s'il était affiché. Si encore les urbains habitaient près de leur lieu de travail, mais ce n'est très largement pas le cas.
Il faut donc prendre du recul pour apprécier une démarche dans sa globalité. Je ne crois pas du tout que la vie rurale ait un bilan écologique pire que la vie urbaine.
Publié : il y a 4 ans
Certes, favoriser le retour de l'effet Joule est une aberration conforme à toutes celles que les lobbies de grands groupes industriels sont cap. de produire !
Il existe une autre situation absurde dans laquelle le poids de l'histoire et celui des habitudes deviennent de précieux alliés de ces lobbies.
Lorsqu'un opérateur brûle 1 m3 de gaz (ou 1 l. de fuel) pour produire de la chaleur, pendant qu'un autre opérateur brûle lui aussi 1 m3 de gaz (ou 1 l. de fuel) pour produire de l'électricité, on peut dire que tout est fait pour... éviter de faire avec 1 m3 de gaz (ou 1 l. de fuel) la meme chose qu'avec 2 !
Ce résultat de la séparation historique entre le secteur du chauffage et celui de l'électricité, n'est pas forcément une contrariété pour les partisans des grille-pains... Il l'est toutefois pour tous ceux/celles qui considèrent que l'incohérence de l'action publique est la négation du rêve de Condorcet: un peuple de citoyens libres et éclairés !
Plusieurs de nos voisins ont entrepris de favoriser la co-génération; c'est dans notre pays que cela se passe à un... "train de sénateur", si l'on peut dire !
Il suffit de consulter la transposition de la directive européenne:
http://france-alter.info/CO-Gen_Texte07_2016.pdf pour comprendre pourquoi la co-generation est 10 fois moins développée de ce coté ci du Rhin. Rien n'a été négligé pour que les AG de copropriétaires d'immeubles collectifs (ou de centres commerciaux), soient noyées dans un univers de contraintes bureaucratiques rendant impossible toute décision d'investir dans la Co-Gen !
Pourtant, selon le prix du baril, chaque tranche de 10 Mtep non consommés éviterait de creuser de ~3 à 6 milliards le déséquilibre de la balance des paiements, tandis que la revente de ~35 TWh /an (au lieu de moins de 12 aujourd'hui...), pourrait procurer un revenu -ou une économie de factures EdF - de 4 à 6 milliards/an pour les investisseurs cap. de s'y retrouver dans le "gloubi-boulga" de l'arrêté du 20 juillet 2016 !
Publié : il y a 3 mois
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