Soutien à l'électricité dans la RE2020 : le gaz va "continuer le combat"

par BATIACTU il y a 4 ans
RÉACTION. Après que l'État a clairement affirmé le rôle positif de l'électricité dans le Bâtiment, via la future RE2020, la filière gaz assure à Batiactu qu'elle continuera d'avancer ses arguments durant la phase de préparation du texte.
Lire l'article sur Batiactu
36 réponses à ce sujet
Publié : il y a 4 ans
Pendant que les bédouins divers, selon leurs intérêts propres, se titillent, la caravane passe !!!
Hé, les boomers, ça chauffe grave autour de nous tous, et c'est peu par rapport à ce que ça va chauffer autour de nos descendants … et si on allait vers des solutions de bon sens, ça serait peut-être pas idiot ?
Publié : il y a 4 ans
Oui, et la solution de bon sens est et restera de diminuer très, très fortement notre consommation énergétique. Pour cela, toutes les solutions techniques, économiques et écologiques existent. Il suffit d'avoir la volonté de les appliquer. Mais nos décideurs regardent ailleurs ....
Publié : il y a 4 ans
Je m'interroge sur le choix de la photo pour illustrer l'article sur le Gaz comme élément de chauffage d'une maison. Les unités de méthanisation ( alimentés souvent par des hectares de maïs) sont principalement là pour produire de l'électricité, puisque le "biogaz" est brulé sur place par un moteur thermique qui aliment une génératrice. Encore un beau gâchis financer par l'état via l'ADEME !!
Publié : il y a 4 ans
Regardez ailleurs !

Ils ont déjà fait le coup, avec l'éclairage "basse consommation" en logement qui fait faire quasi - zéro économie (la part en moins de chauffage qui était liée à la lampe incandescente est compensée à 100% par le chauffage, via le thermostat qui gère les consignes, les 2/3 de l'année).

Cette fois, pendant que la DGEC nous focalise sur le chauffage, c'est l'ensemble des consommations d'énergie d'un logement RT bien réalisé qu'il faut regarder, et notamment du coté de l'ECS sur une année entière ! L'eau chaude sanitaire devient souvent le 1er poste de dépense, devant le chauffage. Comme les ballons thermodynamiques se voient gratifiées de performances "audacieuses" (pour rester correcte) et que le besoin d'ECS reste constant, la consommation électrique est assurée !

Avec un logement "industriel", sans inertie, ni déphasage (merci les isolants synthétiques), en tout élec. et donc sans réseaux, la seule alternative pour "refroidir" en période estivale et caniculaire sera la clim. "mobile" et donc encore et toujours de l'élec.
Publié : il y a 4 ans
Bien que fortement liés, les objectifs de réduction des rejets de CO2 et de sobriété des consommations d'énergie ne doivent pas être confondus. Aussi longtemps que 95% de l'électricité sera d'origine nucléaire, hydraulique, éolienne et photoélectrique, l'usage généralisé de l'électricité, y compris pour le chauffage, restera imbattable pour atteindre les objectifs de faible émission de CO2.
En revanche, la sobriété en énergie, pour tous usages, réduira les budgets de consommation d'énergie et rendra acceptable, sous l'angle des rejets de CO2 comme des montants d'investissement, un mix optimum des énergies nucléaire, du gaz naturel et des énergies renouvelables. Il y a de la place pour tout le monde!!
Publié : il y a 4 ans
Votre raisonnement est faux, M. Berthet. Pourquoi ? Car vous êtes aveuglé par les chiffres des rejets de CO2 que le lobby du nucléaire nous sert depuis le début. Ces chiffres ne tiennent pas compte des rejets de CO2 dus à la construction des installations de production, de transport, pas plus que de l'extraction du minerai, pas plus que du futur démantèlement, pas plus que de la gestion des déchets, et encore moins de la gestion globale de la boutique EDF/ENEDIS et consorts. S'il vous plait, appliquez votre intelligence (dont je ne doute pas) à réfléchir et voir plus loin que le bout du nez de Macron et compagnie.
Publié : il y a 4 ans
Si l'énergie nucléaire produisait autant de CO2 que vous le suggérez, comment expliquer que les rejets de CO2 par habitant en France (4,56 t/habitant/an) soient pratiquement la moitié de ceux de l'Allemagne (8,70 t/habitant/an) en 2017, source Banque Mondiale. L'industrialisation supérieure en Allemagne doit en expliquer une petite partie. Je suis tenté de penser que l'usage du charbon et du gaz dans les centrales thermiques ne soit pas compensé par l'usage très important d'éoliennes? Alors d'ou vient la différence?
Publié : il y a 4 ans
A Jean BERTHET, le bilan carbone d'un allemand est supérieur à celui d'un français ! oui 11,3 t CO2éq par habitant contre 7,2 t CO2éq par habitant en France en 2017, selon les statistiques de l´Eurostat (Eurostat).

C'est vrai parce que les dépenses d'énergies de l'industrie allemande avec 28% contre 19% en France, l'industrie pèsent nettement plus sur la consommation finale d'énergie, mais il est à relier logiquement au poids économique du secteur industriel outre-Rhin.
Mais cependant, dans les transports la part d'énergie est de 32% en France contre 28% en Allemagne et les dépenses d'énergie dans le batiment résidentiel et tertiaire est légèrement plus faible outre-Rhin.

SI on regarde les consommations d'énergies d'un foyer allemand, sa dépense est beaucoup moindre que celui d'un français que ce soit au niveau de son logement ou de ses déplacements alors même que le climat est plus rigoureux et la surface des logements plus importante.
Si on va plus loin et qu'on regarde la dépense et la provenance de l'électricité qui rentre dans le compteur d'un foyer allemand, alors là c'est avantage aux allemands !

Vous voyez c'est facile de faire dire ce qu'on veut !!

Comparer et ajouter toutes nos importations chinoises de bien de consommations fabriqués avec grands coups de l'électricité au charbon et convoyés par des portes-conteneurs, d'une part en Allemagne et par ailleurs en France ... et là on en reparle !!
Publié : il y a 4 ans
De toute façon, on aura beau tourner ça dans tous les sens, seule la sobriété est respectable. Mais comme cela implique de la décroissance, peu de gens s'impliquent dans cette direction. Et surtout, on assiste à un tirage de couverture car chacun veut garder la plus grosse part du gâteau. En attendant, ce n'est pas comme ça que l'on privilégiera l'intérêt de la France et des français.
Publié : il y a 4 ans
La sobriété en énergie de chaque processus est effectivement un préalable à la réduction des besoins globaux et de la production de tous les types d'énergie, et des pollutions qu'elles génèrent, à mix constant. La sobriété énergétique est un des aspects des gains de productivité technologiques et organisationnels qui ont tiré des milliards d'hommes et de femmes de la précarité et leur ont apporté une qualité de vie que n'avait jamais connu l'humanité. Au delà, les progrès de l'efficacité globale peuvent être encore accélérés grâce à l'explosion de toutes les nouvelles technologies, sous contrainte d'un usage croissant des énergies et des processus peu ou non polluants. Les modes de vie devront évoluer pour réduire les gâchis, mais pas en revenant à la frugalité rêvée de nos grand parents: Vivre mieux, mais pas vivre moins. La Décroissance, qui sous entend l'impuissance du progrès technologique pour réduire notre impact sur l'environnement, est une approche pessimiste en rupture avec la vitesse des progrès réalisés dans tous les domaines depuis la seconde guerre mondiale. Le mix énergétique, en particulier d'électricité, ne devrait effectivement pas résulter de la foire d'empoigne, du lobbying et de la désinformation, mais d'une approche rationnelle et économiquement compétitive: Part stable autour de 50% des besoins par le nucléaire, en particulier la nuit pour recharger les batteries des millions de voitures électriques et pomper l'eau dans les barrages, part intermittente planifiée avec le photoélectrique (jour/nuit), part intermittente non planifiée avec l'éolien, parts à la demande avec l'hydraulique et les centrales à gaz et le chauffage domestique et industriel issus du gaz fossile ou du biogaz.
Publié : il y a 4 ans
Le problème de fond reste et restera que le niveau de dangerosité de la production d'électricité nucléaire est de très loin supérieur aux autres. En analyse du cycle de vie, c'est une catastrophe assurée .... A t'on le droit et le devoir de s'asseoir là dessus ? Certainement pas s'il nous reste un minimum de conscience.
Publié : il y a 4 ans
A court terme et dans le passé récent, le charbon et l'effondrement des barrage ont fait plus de morts que les sinistres nucléaires. En revanche, les risques potentiels à long terme du nucléaire sur l'évolution génétique des populations sont plus élevés que pour les autres sources d'énergie. Ce qui fait sens, c'est d'apprécier ce risque par rapport aux risques majeurs qui menacent l'humanité, et pas seulement par rapport à ceux générés par les autres sources d'énergie. Ces risques sont d'abord la bêtise et l'inculture, qui peuvent à tout instant déclencher une guerre mondiale nucléaire détruisant l'humanité à tout instant, ensuite l'usage de produits chimiques et de pratiques modifiant le patrimoine génétique de l'humanité ou sa fécondité, enfin toutes les causes premières diminuant la capacité de l'environnement à nourrir l'humanité, réchauffement climatique comme chute du nombre d'insectes pollinisateurs. Une démarche rationnelle et efficace devrait nous poussez à commencer par prévenir les dangers par ordre d'importance décroissante. Dans cette optique, je ne pense pas que l'abandon du nucléaire civil par fission fasse partie des principales urgences, dans la mesure ou, espérons le, il sera remplacé avant 50 ans par la production d'énergie par fusion dès que celle ci sera au point.
Publié : il y a 4 ans
Jean Berthet / Le nucléaire propre ?

Il faut extraire des centaines de tonnes pour atteindre au final et isoler dans le meilleurs des cas 3 à 4 tonnes de minerai uranifère. C'est quelques tonnes de minerai produiront au final 1 Kg du de cette fameuse boue jaune le « yellowcake ». qui sera traitée dans des usines en France pour le transformer en combustible nucléaire. Rappelons qu'il faut 50 tonnes de combustible annuellement par réacteur !
Pour optimiser les coûts de transports, il faut concasser en fine poudre et sur place le minerai extrait avec de gros broyeurs mécaniques à moteurs thermiques … et donc au pétrole. Mais curieusement le CO2 au crédit du nucléaire, étant produit ailleurs, il n'apparait nulle part.
Mais ce n'est pas terminé car toujours sur place, il faut séparer, dans cette poudre, les molécules contenant les atomes d'uranium. Et là, ça se fait chimiquement dans des bains d'acide sulfurique où l'uranium est séparé et isolé.

Ensuite il faut neutraliser l'acide sulfurique et là ça se fait par lavage à grandes eaux et par filtration pour obtenir au final le gâteau jaune qui sera expédié en France sur le site d'Orano de Malvezy à Narbonne

Là ce n'est pas finis, le yellocacke subira plusieurs autres traitements complémentaires avant d'être centrifuger. La centrifugeuse va purifier dans des proportions pointues entre les différents isotopes d'uranium U235 et d'U238 pour avoir un combustible le plus proche possible du fameux coefficient multiplicateur idéal K=1 qui évitera les manipulations d'ajustement des opérateurs pour chaque tranche dans le réacteur dans les centrales elles-mêmes.

A ce tableau déjà peu reluisant, il faut ajouter le retraitement des 50 tonnes /réacteurs qui est énergivore et qui réduit d'autant le rendement de ce combustible.

Et là, nous sommes UNIQUEMENT dans la part marginale et pas dans l'empreinte totale ou moyenne contrairement à celle qu'on impose aux autres énergies. (exemple : le bilan d'une éolienne doit comprendre sa fabrication de son exploitation, son démantèlement jusqu'au "retour à la prairie" en passant par les mesures de compensation)

On peut poursuivre avec « le nucléaire du futur » qui aura toujours le même combustible avec le même impact mais qui aura été doté du grand carénage à grands coups centaines de milliers de tonnes de matériaux supplémentaires.

On devra alors adjoindre le démantèlement et ses millions de tonnes à recycler non comptabilisés sur la production actuelle !

Il faut arrêter de faire croire que le nucléaire est décarboné, c'est archi-faux, il faut arrêter de faire semblant de croire qu'on retraite ou qu'on va retraiter les déchets … 300.000 mètres cubes de matériaux radioactifs ont été « planqués » pour ne pas être comptabilisés … révélation par des journalistes d'investigation information La Tribune/ AFP le 11/09/2019
Ça fait 18 milliards d'Euro de surcoût "discrètement escamotés" pour la gestion des déchets radioactifs qui ne sont pas imputés au coût réel du MWh nucléaire actuel !

Et pour en finir avec la mystification et le mensonge du nucléaire environnemental. Là en ce moment, on rase une forêt classée avec des essences rares pour extraire de l'uranium (ça se passe au Kazakhstan pour Orano )
Publié : il y a 4 ans
Sans compter que tout cela se fait au mépris total des populations locales.
Des pratiques mafieuses par un pays sensé être la patrie des droits de l'homme.
Et dire qu'il y a ici et ailleurs tant de gens qui s'en foutent ! Ecoeurant ...
Publié : il y a 4 ans
J'ai cherché une source indépendante, l'ADEME, pour chiffrer la contribution CO2 par kwh des différentes étapes détaillées par M.Pierrick.
Du point de vue des strictes émissions de gaz à effet de serre, la technologie de fission nucléaire est très peu émettrice. Certes les ouvrages pharaoniques de mise en chantier et de démantèlement en fin de vie génèrent de très lourdes émissions ; cependant une fois divisées par la quantité tout aussi gigantesque de kW.h produits sur la durée de vie de la centrale, il convient de constater leur relative faiblesse unitaire. Il en est de même pour les traitements successifs de préparation de retraitement du combustible.
Les données suivantes (source ADEME et PSI Zurich) correspondent à un cas représentatif français, dont les émissions relatives à la préparation du combustible bénéficient d'une électricité nationale faiblement carbonée. En effet, certains postes de traitement utilisant de l'électricité doivent être évalués en proportion du contenu carbone de l'électricité moyenne du pays considéré, en l'occurrence la France.
Le Bilan Carbone® complet d'une centrale nucléaire française est le suivant (en g CO2 / kW.h):
Extraction 0,4
Préparation 1,5
Conversion 1,2
Enrichissement 0,4
Réacteur proprement dit 1,8
Retraitement 0,5
Enfouissement 0,3
Le total est d'environ 6 g CO2e / kW.h, les 2/3 étant lié au fonctionnement, 1/3 à la construction des infrastructures. A l'international, cette valeur peut être parfois portée à un peu plus d'une dizaine de grammes de CO2e / kW.h en fonction de la nature de l'approvisionnement en uranium, de son enrichissement, de la consommation de la centrale en minerai, de sa technologie, et de sa durée de vie (source Agence Internationale de l'Energie et Van Der Zwaan 2013).
Ces chiffres ne sont en rien un plaidoyer pour le nucléaire, dont à titre personnel je souhaiterais que la France puisse lui substituer d'autres sources sources décarbonées au fur et à mesure de l'arrivée des centrales en fin de vie pour rendre le financement de la conversion supportable et ne pas générer la décroissance ni la perte de compétitivité de ce qui reste de notre industrie sur le territoire national.
Publié : il y a 4 ans
Depuis quand l'ADEME est une source indépendante ?
Publié : il y a 4 ans
Le seul argument entendable des lobbyistes du gaz, c'est qu'EDF a m... avec Flamanville. Mais (contrairement aux dire de Ségolène !!) ce n'est pas cet avatar qui joue sur le prix de vente actuel de l'électricité ! Attendons que les c... soient réparées (soudures de tuyauteries si je me souviens bien) et voyons si comme en Chine l'EPR est un vrai bijou technologique.
Ensuite la réglementation (RE2020) doit refléter la politique nationale en matière d'écologie. Donc pénaliser les émissions de carbone des moyens de chauffage, donc le gaz "naturel" (400 gCO2/kWh). Le bio-gaz devrait s'en trouver favorisé, mais à condition que son prix reste compétitif. Car l'électricité Verte (nucléaire ou renouvelables) est à ce jour imbattable.
Le "coefficient d'énergie primaire" est une gigantesque escroquerie qui n'a rien à voir avec les performances énergétiques des bâtiments, il a juste été poussé dans la RT par les gaziers qui voulaient mettre l'électricité hors course. C'est sans compter avec l'isolation de plus en plus performante qui fait que l'on ne consomme pratiquement plus d'énergie pour se chauffer, et surtout sur les PAC (pompes à chaleur) qui divisent par 3 à 4 les kWh électriques utilisés.
D'accord cependant avec ce lobbyiste gazier, il faut privilégier la PAC à l'effet Joule pour éviter le "gaspi", donc imaginer des solutions qui rendent le surcoût des PAC par rapport aux simples radiateurs, insignifiants pour les consommateurs.
Publié : il y a 4 ans
Sur les 1O3 Analyses de cycles de vie répertoriées par le chercheur Benjamin Sovacool de l'université nationale de Singapour, seulement 19 études ont été jugées crédibles et compilées : 7 internationales, 1 au USA, 2 au Royaume-Uni, 1 allemande, 2 japonaises , 2 australiennes, 1 suisse, 1 Canadienne, 1 Chinoise et 1 égyptienne. Vous remarquerez qu'aucunes études françaises n'a été retenue par le chercheur qui les considère inexploitables car peu crédibles, incomplètes et partisanes !

Il en ressort que la moyenne est proche de 66gr CO2/KWh. C'est 10 fois la valeur française !

L'étude commandée par le groupe vert du Parlement européen en 2005 mentionne 117gr CO2/KWh
Celle des australiens de 2006 57.7gr CO2/KWh

On retombe encore une fois sur des valeurs proches de 60gr CO2/KWh.

restez avec vos œillères et vos certitudes pro-nucléaires.

Pour finir en finir avec vos inepties du nucléaire peu mortel, à Tchernobyl sur les 830 000 jeunes hommes "liquidateurs de la catastrophe" dépêchés sur place par les autorités Russes, on compte entre 112 000 et 125 000 morts et 200 000 à 300 000 invalides, sachant que les 4 premières années sont encore classées secret défense.
Et il faut ajouter entre 40 000 et 200 000 civils contaminés morts prématurément de cancers de la thyroïde parmi les 75 millions d'habitants russes et pays voisins contaminés par les retombés.

copier/coller : En janvier 2010, l'Académie des sciences de New York (NYAS) a publié le recueil le plus complet de données scientifiques concernant la nature et l'étendue des dommages infligés aux êtres humains et à l'environnement à la suite de l'accident de Tchernobyl. Les auteurs estiment que les émissions radioactives du réacteur en feu ont atteint dix milliards de curies, soit deux cents fois les retombées des bombes atomiques lancées sur Hiroshima et Nagasaki. Le nombre de décès à travers le monde attribuables aux retombées de l'accident, entre 1986 et 2004, est de 985 000, un chiffre qui a encore augmenté depuis cette date.

Pour Fukushima, l'ampleur des 20 000 morts du tsunami font oublier qu'on en aujourd'hui à 1800 morts irradiés et que selon L'OMS, les estimations sont d'environ 10 000 morts dans les années à venir !
Publié : il y a 4 ans
Comment être pour ou contre le nucléaire civil pour les rejets de CO2 ou les milliers de morts dont il serait responsable, dans la mesure où il y a autant de chiffres que d'auteurs. Heureusement que les ingénieurs qui ont défini il y a 40 ans les centrales actuelles ne se sont pas contenté de prendre la moyenne des opinions de l'époque.
La dispersion des chiffres invoqués montre simplement que le sujet est passionnel et idéologique.
Publié : il y a 4 ans
Des centaines de milliers de morts ... un sujet passionnel et une idéologie ?
Je vous laisse la responsabilité de vos propos !
Publié : il y a 4 ans
Il y a effectivement une telle dispersion (de 1 à 10) entre les évaluations d'émission de CO2 ou de morts selon les sources et les auteurs qu'il n'est plus possible de se construire une opinion rationnelle. Dommage.
N'oublions pas que la présente controverse a démarré avec comme titre: La gaz "va continuer le combat". Ce combat s'appuie malheureusement sur des opinions déguisées en démonstrations.
Publié : il y a 4 ans
Je ne suis plus intervenu ici depuis le 1er commentaire de la longue liste et vous résumez, Jean Berthet, ce que je craignais de voir se développer : une foire d'empoigne de chiffres (et effectivement, chacun, selon ses convictions, à les siens propres) entre intervenants plus poussés, chacun, par ce qui finit par devenir une idéologie et, de ce fait, on perd de vue l'essentiel : nous sommes au bord d'un "effondrement" à causes multiples, dont une relève du climat.

Nous participons tous à son évolution (le climat). Je pense qu'il nous faut apprendre, tous, à devenir matures et poser les problèmes dans leur globalité, ce serait certes plus complexe, mais tellement plus sage.

Perso, et plus le temps passe, moins je supporte les "Y'a k'à", fô qu'on !" (dans lesquels, M Berthet, je ne vous classe pas).
Publié : il y a 4 ans
Je ne pense pas que l'on arrivera à faire ouvrir les yeux aux adeptes de la secte du nucléaire. Ils sont bien trop endormis et embrigadés pour ça. C'est fou comment des gens, souvent intelligents, perdent tout bon sens quand ils sont bien conditionnés.
Publié : il y a 4 ans
Notre époque est effectivement celle des post vérités, dans laquelle toutes les opinions se valent, qu'elles viennent de vrais sachants généralement discrets ou de prêcheurs auto proclamés de répandant dans les médias. Les vérités alternatives s'épanouissent aussi grâce au remplacement progressif des démonstrations par les émotions. Ce que M.Le Bris regrette pour les pro nucléaires inconditionnels, est symétriquement vrai pour les anti nucléaires inconditionnels (!!!), et plus généralement pour les anti et pros inconditionnels de tous les autres sujets qu'il n'est plus possible d'aborder sereinement en France, comme l'usage des vaccins, les effets sur les personnes électrosensibles des rayonnements des courants porteurs des compteurs Linky ou des antennes de téléphones mobiles, l'usage du glyphosate, les rejets des véhicules diesel homologués WLTP Euro 6d Temp comparés à ceux des moteurs essence..
Publié : il y a 4 ans
A Jean Berthet, voyez vous, je suis au quotidien en contact avec les énergéticiens, les grandes entreprises et leurs stratégies pour placer leurs matériels ou matériaux.
J'ai appris depuis bien longtemps que la réalité est systématiquement détournée, distendue, triturée, retournée, pour vendre toujours plus !
Dans ce tohubohu, les sommes dépensées à proférer de la post-vérité et autres désinformations sont colossales parce que les enjeux le sont également pour eux. La réplique écolo. est bien modeste face à ces mastodontes et leurs armées de communicants formatés à des discours prédigérés.

Je croise partout leur prosélytisme, il noyaute systématiquement chacun des événements pro. qui jalonnent ma vie de thermicien indépendant, formations, salons, meeting, conférences, commissions, études, réglementations. j'en croise d'autres dans la vie politique citoyenne, dans les CA des associations environnementales ou agences locales d'énergie climat.

Ils contestent, mentent par omission, détournent retournent et interprètent toutes études indépendantes dans une cacophonie d'arguments qui se contredisent en permanence et sans coordination ... ils sont si nombreux !

- l'électricité est une énergie pas chère : faux, c'est la plus chère avec un kWh proche de 0.2€ ttc

- l'électricité verte (Total, EDF, Engie etc ... ) : faux ce ne sont que des achats de certificats à 90% dans toute l'UE uniquement pour faire de la compensation virtuelle 2.0.

- les lampes basse conso divisent par le coût de la lumière : faux, en période de chauffage (2/3 de l'année), elles font faire zéro économie dans les locaux chauffés (le chauffage généré par les ex-lampes à incandescence est remplacé par + de chauffage pour atteindre la consigne)

- les radiateurs élec. actuels sont beaucoup plus écologiques (jusqu'a 30%) : faux ! seulement 7% à usage égal et les radiateurs à inertie sont, au contraire, plus énergivores (ils se "chargent juste en heures creuses)

- les ballons d'ECS thermodynamiques divisent par 3 ou 4 la facture d'eau chaude : faux, les appareils thermodynamiques sont évalués à +7°C contrairement aux autres technologies évaluées à -7°C ... la réalité est inférieure à un cop annuel de 2 ... et le pire du pire la désinformation des "conseillers énergies" des opérateurs qui conseillent de charger en heure creuse (période où c'est le moins efficient ... mais il vaut mieux vendre des heures creuses que du MWh à perte sur le marché de gros européen)

- l'électricité est désavantagée en énergie primaire : faux elle est outrageusement avantagée dans le neuf (2.58 au lieu de 3 chez tous nos voisins)

- le DPE pénalise l'électricité : faux, avec le moteur de calcul 3CL actuel, une épave thermique équipée d'une Pac se voit gratifiée d'une étiquette C alors que le même logement parfaitement isolé avec un appareil au bois à condensation restera D dans 80% des cas.

- le nucléaire est décarboné : faux, il l'est plus que toutes les ENR

- la France consomme 80% d'énergie "propre" : faux, on confond production et consommation. Les français consomment de l'électricité européenne depuis 30 ans et en hiver le KWh qui arrive au compteur des clients français contient plus de CO2 que le KWh de gaz naturel.

- un véhicule électrique est propre : faux, son ACV est complètement bidonnée le recyclage des batteries est vaste blague (tout est broyée pour en retirer 3%) et moins de 10% des VE sont chargés avec de l'électricité d'origine renouvelable. Tant qu'aux particules fines ou Ultra-fines, il en rejette comme les voitures thermiques (pneus, freins, enrobages des routes)

- le plein d'un VE est bon marché : faux les véhicules coûtent en moyenne 10 000€ de plus que le même modèle à moteur thermique. Avec une espérance de vie de la batterie de 10 ans en cycle urbain, cela fait entre 8 et 9€/100km (équivalent à 6litres/100km) .

- je peux continuer longtemps !
Publié : il y a 4 ans
Eh, oui, Pierrick, le constat est amer car la "putanisation" a tout envahi.
Ce n'est certes pas une raison pour baisser les bras.
Et en premier faire au mieux sa part, sans pour autant se croire exemplaire.
Car dans ce système, qui peut se prétendre exemplaire ?
Publié : il y a 4 ans
A Francis Le Bris, je ne baisse pas les bras , je remets les choses à leur place. Un monde électrique idéal et propre est un fantasme français piloté de mains de maitre par des communicants aux budgets illimités.

Partout ailleurs, la stratégie repose sur un mixte énergétique complet ... alors qu'en France on s'obstine dans une centralisation obsolète et très dangereuse.
Stratégiquement, on met met tous nos œufs dans le même panier et on va remplacer notre dépendance partielle à la peste du golf persique par une dépendance à, 100% ou presque, du choléra de l'uranium venant de pays qui nous tiendront par les "bip bip". y compris pour la mobilité !

Par ailleurs, cette hyper centralisation nous fragilise parce qu'il est impossible de d'enterrer les lignes THT. Selon les dernières modélisations climatiques qui s'affinent d'années en années, La France va être traversée, de plus en plus souvent par des tempêtes et évènements climatiques extrêmes. On à déjà vu ce qu'engendre une grosse dépression sur la façade Atlantique, on voit ce qu'engendre les cévenoles, on a vu ce qu'engendre les canicules sur le réseau et le refroidissement des grosses centrales (on est quand même passé 3 fois en moins de 15 ans au bord de la cata. nucléaire) mettre le pays en tout élec. y compris pour la mobilité est juste complètement irresponsable.

Cette stratégie repose uniquement sur une vision économique très court terme qui est de parier que l'électricité va être sur-abondante, en Europe, pendant les quelques années à venir (la transition de nos voisins ) ... et après ?

Quand on sait combien d'années sont nécessaires pour amorcer un virage sociétal, ça ressemble fortement à quelque chose comme ... hé-bien-après, démerdez vous !!
Publié : il y a 4 ans
Effectivement, le fond du problème réside bien dans notre incapacité à changer de mode de vie et par conséquent de modèle sociétal
Publié : il y a 4 ans
A Pierrick thermicien, on est d'accord tout une éducation à reprendre, il y a de gros pb de compréhension avec la plupart de vos propos antinucléaire et anti réseau....il y a tant à dire que je me laisse un peu de réflexion.
en amuse bouche les résultats sont là: 89 Md€ dépensées en éolien (pour 15 Gw installés) c'est l' èquivallent du cout de tout le parc nucléaire Français, pour une production inférieure à 6% et encore pas toujours au bon moment, avec le solaire c'est 170Md€ engagés en subvention dont 120 restent à payer , vous vous moquez du monde, résultats sur les GES qui nous intéresse zéro, sur les morts de la pollution c'est aussi zéro ( c'est 40 000/an sur notre territoire), le prix du tarif EDF a d^u être augmenté de 7% et ce n'est pas fini pour que la concurrence à l'atome piosse ce faire et ce n'est pas tout les fournisseurs altenatifs demandent plus de revente (30% de l'energie nucléaire d'EDF) par pour le bien de la nation.... vous avez raison sur le fond tout est pipé, l'Europe Allemande n'a pas pour objectif la lutte contre le climat mais la spoliation du contribuable et consommateur Français et vos propos vont dans ce sens.
L'Europe Allemande c'est la maîtrise de l'énergie par le Charbon qu'ils ont et le GAZ Russe et Norvégien, ils développent le réseau de gaz pour être maitres en Europe en nous faisant oublier que c'est du CO².
Les recommandations du GIEC et de L AIE ont été détournées , c'est le réchauffement climatique l'ennemi num 1 pas le nucléaire qui est reconnu par l'OMS et Nairobi comme l'industrie la moins contraignante en vie humaine même en comptant les accidents et les déchets , à comparer avec le 7Millions de morts dans le monde de la combustion.
le ratio pénalisant l'électricité / au gaz est une honte, d'ailleurs si un degré de température d'écart en dessous de zéro nécessite 2500Mw de puissance, pour l'électricite , pour le gaz c'est double.
Publié : il y a 4 ans
Publié : il y a 4 ans
A Pierrick thermicien, on est d'accord tout une éducation à reprendre, il y a de gros pb de compréhension avec la plupart de vos propos antinucléaire et anti réseau....il y a tant à dire que je me laisse un peu de réflexion.
en amuse bouche les résultats sont là: 89 Md€ dépensées en éolien (pour 15 Gw installés) c'est l' èquivallent du cout de tout le parc nucléaire Français, pour une production inférieure à 6% et encore pas toujours au bon moment, avec le solaire c'est 170Md€ engagés en subvention dont 120 restent à payer , vous vous moquez du monde, résultats sur les GES qui nous intéresse zéro, sur les morts de la pollution c'est aussi zéro ( c'est 40 000/an sur notre territoire), le prix du tarif EDF a d^u être augmenté de 7% et ce n'est pas fini pour que la concurrence à l'atome puisse ce faire et ce n'est pas tout les fournisseurs alternatifs demandent plus de revente (30% de l'energie nucléaire d'EDF) par pour le bien de la nation.... vous avez raison sur le fond tout est pipé, l'Europe Allemande n'a pas pour objectif la lutte contre le climat mais la spoliation du contribuable et consommateur Français et vos propos vont dans ce sens.
L'Europe Allemande c'est la maîtrise de l'énergie par le Charbon qu'ils ont et le GAZ Russe et Norvégien, ils développent le réseau de gaz pour être maitres en Europe en nous faisant oublier que c'est du CO².
Les recommandations du GIEC et de L AIE ont été détournées , c'est le réchauffement climatique l'ennemi num 1 pas le nucléaire qui est reconnu par l'OMS et Nairobi comme l'industrie la moins contraignante en vie humaine même en comptant les accidents et les déchets , à comparer avec le 7Millions de morts dans le monde de la combustion.Le plus sur moyen d'arriver à temps sur les objectifs clilat.
En effet le mythe des ENRi, cv'est le dévelppement du gaz pour pallier l'intermittence ou l'effacement de consommation ou de production, car le stokage de masse de l'électricité n'est pas pour demain.
Voilà la vrai raison des incudents majeurs du réseau du 10 janvier dernier et du 7 octobre qui ont été réglé par la combustion (Allemande et des industriels effacés 1500Mw qui ont passé sur leur moyens propre contre 60M€)
le ratio pénalisant l'électricité / au gaz est une honte, d'ailleurs si un degré de température d'écart en dessous de zéro nécessite 2500Mw de puissance, pour l'électricite , pour le gaz c'est double.
Un moment il faut arrêter de se moquer du monde qu'on spolie, car l'enjeux final est là affaiblir suffisamment EDF par ponctions progressives pour faire passer la mane du besoin énergétique dans les mains du privé..c'est en court on ne reparle en Janvier...
Publié : il y a 4 ans
Merci à Pierre Bjd de compléter les arguments que je pensais jusqu'à cette controverse solides, largement partagés et rationnels, en particulier que la production d'électricité par l'énergie nucléaire rejetait peu de CO2 et que son remplacement par les énergies intermittentes conduirait à accroire nos rejets de CO2 eu égard à la nécessité d'investir dans des nouvelles centrales à gaz fonctionnant à la demande pour équilibrer les ressources intermittentes d'énergie électrique avec les besoins des consommateurs.
Jusqu'à présent, seuls les risques générés par le nucléaire étaient invoqués pour tenter de remplacer cette source d'énergie par d'autres moins risquées. Le nouvel argument que le nucléaire produirait sur son cycle complet plus de CO2 que le gaz par exemple est nouveau et fait maintenant partie des éléments de langage des antinucléaires.
Publié : il y a 4 ans
Ce que vous ne prenez pas en compte, c'est la nécessité de réduire très fortement la consommation d'énergie, toutes sources confondues. Vous raisonnez sur la base des mauvaises habitudes humaines. Et vous avez peut être raison, car peut être que ces mauvaises habitudes vont continuer. 10 milliards d'abrutis qui vivent à l'américaine : il va en falloir des centrales nucléaires !!!
Bienvenu dans un monde meilleur ....
Publié : il y a 4 ans
Je ne peux qu'être d'accord avec F. Le Bris. L'énergie la moins polluante et la moins coûteuse à produire est celle dont on n'a pas besoin. Il faut donc faire aussi des économies d'énergie. En revanche, réaliser cet objectif vertueux par l'abandon du mode de vie actuel de l'Amérique du Nord, de l'Europe et de l'Asie me paraît aller un peu vite en besogne et faire fi des solutions apportées par la technologie. La décroissance généralisée, sous entendue par «l'abandon de nos mauvaises habitudes », ne pourra être mise en œuvre que si elle est imposée à la majorité de l'humanité développée par une minorité dépositaire de la Vérité. Cette démarche généralisée nécessiterait alors la mise en place d'une société totalitaire, imposant à chacun dans sa vie quotidienne des comportements obligatoires symboliquement vertueux, d'un impact dérisoire sur l'environnement, mais essentiels comme ciment sociétal d'un nouveau Monde dans lequel je ne souhaiterais à personne de vivre. Nous savons tous que l'essentiel à court terme pour réduire les rejets de CO2 est l'arrêt de la construction de nouvelles centrales à charbon en Chine et la fermeture des centrales existantes toujours en Chine, aux USA, en Pologne et en Allemagne, plutôt que toutes ces « initiatives citoyennes » d'impact dérisoire dans un pays développé qui représente moins de 1% des rejets mondiaux de CO2 mais qui préfigurent déjà l'embrigadement de la population dans la liturgie verte.
Publié : il y a 4 ans
Je suis d'accord avec vous : pas de dictature, même verte !
Mais sans interdire tout, on peut freiner les ardeurs en punissant les mauvais élèves. Que les sur-consommateurs d'énergie payent, que les sur-producteurs de CO2 payent. Bien sûr, si cela ne se fait pas à l'échelle globale de l'ensemble des nations, cela n'est pas viable. Question : comment empêcher les états mauvais élèves de continuer ? Qui va imposer à la Chine et aux Etats Unis d'arrêter le charbon ? Voyez les résultats de la COP 25, désormais, presque tout le monde s'en fout ....
Publié : il y a 3 mois
Témoignages prêt 85,700€ obtenu auprès de Mme Marlène NOCHEZ, honnête, sérieuse.C'est avec émotion que j'écris ces lignes de gratitude. Elle nous a accordé un crédit alors que nous étions dans l'angoisse totale.Nous avons été mis en contact avec des connaissances qui ont été très satisfaites de son intervention en leur faveur. Dans notre cas, il s'agissait de leur confier notre dossier pour l'achat de notre premier véhicule.Marlène NOCHEZ a su nous rassurer et nous encourager dans notre projet à un moment où notre banque n'était pas très compétitive. Nous avons eu des réponses à toutes nos questions, des explications à chaque étape et un suivi inespéré de notre dossier. Nous avons également été rassurés par le professionnalisme et l'expertise de notre courtier. Aujourd'hui, nous la recommandons déjà à nos connaissances et n'hésiterons pas à refaire appel à elle si le besoin s'en fait sentir. Merci encore
Contact : marlenenochez68@gmail.com

Témoignages prêt 85,700€ obtenu auprès de Mme Marlène NOCHEZ, honnête, sérieuse.C'est avec émotion que j'écris ces lignes de gratitude. Elle nous a accordé un crédit alors que nous étions dans l'angoisse totale.Nous avons été mis en contact avec des connaissances qui ont été très satisfaites de son intervention en leur faveur. Dans notre cas, il s'agissait de leur confier notre dossier pour l'achat de notre premier véhicule.Marlène NOCHEZ a su nous rassurer et nous encourager dans notre projet à un moment où notre banque n'était pas très compétitive. Nous avons eu des réponses à toutes nos questions, des explications à chaque étape et un suivi inespéré de notre dossier. Nous avons également été rassurés par le professionnalisme et l'expertise de notre courtier. Aujourd'hui, nous la recommandons déjà à nos connaissances et n'hésiterons pas à refaire appel à elle si le besoin s'en fait sentir. Merci encore
Contact : marlenenochez68@gmail.com

Témoignages prêt 85,700€ obtenu auprès de Mme Marlène NOCHEZ, honnête, sérieuse.C'est avec émotion que j'écris ces lignes de gratitude. Elle nous a accordé un crédit alors que nous étions dans l'angoisse totale.Nous avons été mis en contact avec des connaissances qui ont été très satisfaites de son intervention en leur faveur. Dans notre cas, il s'agissait de leur confier notre dossier pour l'achat de notre premier véhicule.Marlène NOCHEZ a su nous rassurer et nous encourager dans notre projet à un moment où notre banque n'était pas très compétitive. Nous avons eu des réponses à toutes nos questions, des explications à chaque étape et un suivi inespéré de notre dossier. Nous avons également été rassurés par le professionnalisme et l'expertise de notre courtier. Aujourd'hui, nous la recommandons déjà à nos connaissances et n'hésiterons pas à refaire appel à elle si le besoin s'en fait sentir. Merci encore
Contact : marlenenochez68@gmail.com

Témoignages prêt 85,700€ obtenu auprès de Mme Marlène NOCHEZ, honnête, sérieuse.C'est avec émotion que j'écris ces lignes de gratitude. Elle nous a accordé un crédit alors que nous étions dans l'angoisse totale.Nous avons été mis en contact avec des connaissances qui ont été très satisfaites de son intervention en leur faveur. Dans notre cas, il s'agissait de leur confier notre dossier pour l'achat de notre premier véhicule.Marlène NOCHEZ a su nous rassurer et nous encourager dans notre projet à un moment où notre banque n'était pas très compétitive. Nous avons eu des réponses à toutes nos questions, des explications à chaque étape et un suivi inespéré de notre dossier. Nous avons également été rassurés par le professionnalisme et l'expertise de notre courtier. Aujourd'hui, nous la recommandons déjà à nos connaissances et n'hésiterons pas à refaire appel à elle si le besoin s'en fait sentir. Merci encore
Contact : marlenenochez68@gmail.com
Répondre à ce sujet
Soutien à l'électricité dans la RE2020 : le gaz va "continuer le combat"
Menu
×