« Le pire est à venir », s'inquiète la Capeb - Batiactu

Il n'y à pas que que le carnet de commande

plus de charges et moins de commande= ???

Monsieur Liebus devrait demander au gouvernement de retoquer les PPP (Partenariat Public Privé) qui sont réservés aux très grosses entreprises financiarisées; en effet, du coup ce genre de contrat échappe complètement aux petites et moyennes entreprises; au mieux celles-ci sont employées en sous traitance par des gros du BTP qui en profitent pour écraser les prix donc les marges des PME; il en résulte parfois des non qualités importantes qui discréditent encore plus ce secteur. Dans l'optique de re-localisation voulue par le président de la République, la CAPEB a une carte maitresse à jouer !

JM Bardon

Bonjour,

Je suis tout à fait d'accord avec M. Rozé d'autant plus que ce système ruine les français pour le bénéfice du CAC 40 : voir ci-dessous des exemples

Lignes à grande vitesse, travaux du Grand Paris, centre hospitalier sud-francilien (Corbeil-Essonnes), rénovations de campus universitaires : pour financer les grandes infrastructures publiques, l'Etat, les collectivités territoriales et les établissements publics sollicitent de plus en plus le secteur privé, dans le cadre de partenariats public-privé (PPP). Pour les entreprises privées appelées à participer, c'est la bonne affaire. En revanche, pour l'Etat, les collectivités locales et les contribuables, ce mode de financement constitue un piège, indique, lundi 9 janvier, Le Parisien.

Monsieur François WOLSKI,

Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, j'ai intégré en 2012 le Groupe d'Experts de l'O.N.U. qui réfléchit sur les problématiques < CRUES TORRENTIELLES ET INONDATIONS...FAIRE FACE AU CHANGEMENT CLIMATIQUE >...Prévention et Actions en Vue de Réduire le Nombre de Victimes et l'Importance des Dégâts.

Technicien reconnu par les familles Scientifiques et des Techniciens Onusiens, porteur de concepts de protections adaptés aux constructions - sites industriels et équipements intérieurs et extérieurs etc...des possibilités d'applications et de développements exponentiels...sur tout le territoire français ; Monsieur le Président de la CAPEB, les directives mondiales - françaises dans < COMMUNES ET INONDATIONS > pour 2015, les constructions exposées aux risques devront être dotées de moyens de protections ; eu égard des environnements - des multiples architectures - leurs environnements et leurs complexités...des expertises sur le terrain s'imposent pour élaborer des concepts adaptés.

La conjoncture économique française inquiète et impacte les métiers du BTP...Les catastrophes climatiques sont visibles et ne pourront pas être délocalisées ; les professionnels de BPT doivent s'engager dans ces crêneaux nouveaux prévention - protections indispensables, les urgences quotidiennes de protections des Biens et des Personnes sont à réaliser !...

Association FRANCE INONDATIONS ; moi-même Expert de l'O.N.U., j'ai créé une structure - Association Etude et de Développements de Concepts - A.E.D.C. - un Laboratoire de développements Techniques - Industriels et Artisanals, je recherche donc des professionnels du BTP en demandes pour avoir des actions territoriales dans les domaines évoquées et dans les zones exposées.

Contacts : François WOLSKI - 06.16.10.71.62 - aedcwf@gmail.com

Je ne sais pas si le présent gouvernement est à la hauteur, mais ce qui est sûr, c'est que l'ancienne majorité avait mis en place une stratégie extrêmement performante de paupérisation de la puissance publique, sous toutes ses formes, au profit du privé. C'est idéologique, reaganien, thatchérien, et c'est bien en passe de réussir, tellement ça a affaibli, "ruiné" disent certains, l'Etat et les Collectivités territoriales. Le PPP en est une des manifestations. Il est temps que les Français, peuple râleur mais pas trop bête, remettent les choses en place. La Capeb a la fièvre, ce n'est pas le moment de casser le thermomètre.

Pourrait on m'expliquer pourquoi les entreprises artisanales ne sont pas pressées de faire des devis et les délais de réalisations aussi long et sans casser les prix? Etonnant pour un secteur en crise...

à Michel Knoerr.

Les demandes de devis sont toujours à la hausse. Ce phénomène n'est pas du à une augmentation des chantiers à venir, mais à une demande beaucoup plus large des consommateurs qui n'hésitent pas à demander des devis à un nombre de plus en plus grand d'entreprises.